Le festival littéraire 2010 « la Magie des Mots » est un succès

 Le festival littéraire 2010 « la Magie des Mots » a été globalement une réussite.

Nombres d’écrivains ont été satisfaits des ventes ainsi que le libraire et les deux éditeurs présents. Les animations telles que la démonstration de calligraphie ou la fabrication de pâte à papier on été très appréciées du public.

Les spectacles ont connu également un succès mérité. Le concert de jazz autour de Boris Vian  a affiché complet ainsi que les deux représentations des lectures musicales et théâtrales de textes galants,  Magie Noire et Carré Blanc.

Le dîner a également été apprécié pour la qualité et l’originalité des plats et boissons proposées ainsi que pour sa présentation (nappes de tissu blanc, centres de tables…)

La réussite de cette manifestation est essentiellement due au professionnalisme des artistes présents (écrivains, comédiens, musiciens), et du travail impressionnant réalisé par les bénévoles. L’argent étant aussi le nerf de toutes les guerres, il va sans dire que ceux qui ont contribué au financement sont les piliers de l’événement.

 Citons aussi parmi les acteurs de la réussite, tous ceux qui y ont contribué par leur bonne volonté, comme M. et Mme Deschamps, gardiens du Château, la disponibilité de l’équipe de l’office du tourisme et celle de la Communauté de Commune, la coopération avec la fondation Fürstenberg.

En résumé la réussite de ce festival tient au fait qu’aucun élément indispensable n’a manqué et surtout que « l’Esprit » était présent. L’esprit c’est n’avoir en tête que la réussite du festival pour le festival. A savoir la satisfaction de tous les intervenants, autant que celui du public.

La manifestation s’est illustrée par sa qualité, son rythme soutenu (pas de temps morts ou d’animations creuses), sa diversité, son expression multi-art. Enfin, le festival a été lieu de création : il existe désormais trois chansons composées sur les textes de Raymond Devos et le spectacle Magie Noire et Carré Blanc a été créé pour la circonstance.

Il nous faut également réparer nos erreurs en déjà les avouant.

 D’abord le plus important : Luis Porquet n’avait pas de livre. Mauvaise transmission entre Arts et Lettres et la librairie ? Notre responsabilité nous aurait obligé au moins à une vérification. Plus jamais ça ! (Promesse du président qui en assume la pleine responsabilité). Cela n’a pas empêché Luis Porquet d’être affable et souriant, révélant si besoin est, toute l’élégance du personnage.

 Elise Veyres, jeune harpiste brillante, victime de sa discrétion n’a pas été présentée au public lors des applaudissements du spectacle théâtral. Un grand merci à Elise Veyres autant pour sa gentillesse que pour son grand talent.

Il ne faudra jamais plus essayer de déshydrater les écrivains. Considérons-les comme des humains à part entière et mettons une bouteille d’eau sur chacune de leur table.

Enfin, une charmante dame venant au concert a souligné un fléchage, pour mener à la grange, digne d’un jeu de piste. Nécessaire sera fait, en la remerciant de cette remarque utile.

Au regard de ce résultat, nous veillerons à ne pas reproduire les erreurs précitées (dans l’erreur aussi, soyons inventifs).

Nous développerons le caractère d’expression multi-art, en  en faisant un marqueur d’Arts et Lettres. Nous allons continuer à laisser une place aussi large que possible à la création (créations d’expressions artistiques diverses, crées avec et pour le festival). Enfin, être intransigeant sur une qualité pouvant satisfaire un public exigeant tout en restant accessible à tous.

Nous commençons dès maintenant à travailler sur les prochaines manifestations. Le prochain festival littéraire aura lieu en 2012. La date précise n’est pas encore retenue. Nous solliciterons Marie-Christine Barrault pour qu’elle accepte une nouvelle fois de nous « marrainer ».

 Pour l’année 2011 deux événements sont en préparation. Des spectacles autour du tango alliant la musique, la danse, le chant, et lecture de textes et une manifestation autour d’un concours d’écriture, essentiellement  tournée vers les scolaires.

 Nous allons également développer une communication, qui est resté trop confidentielle.

 Enfin dernière précision, les comptes, après clôture, se sont révélés parfaitement équilibrés.

Nous souhaitons que le festival puisse se développer en affirmant sa personnalité.